lundi 19 octobre 2009

Happy Birthday to myself.

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Si je ne devais vous raconter qu'une seule chose à propos de moi, ce serait ma folle manie à toujours lire le dernier mot de chaque livre.
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« .M A I N T E N A N T. »

samedi 10 octobre 2009

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N E W Y O R K & L O N D O N
- ou les rêves qui ne se sont pas encore éveillés -


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mardi 6 octobre 2009

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D+
Déjà qu'avant c'était critique, mais depuis que j'ai vu Marie Claude Pietragalla sur scène, c'est devenu une maladie. JE VEUX DANSER. Danser partout. Danser dehors. Danser dans une salle pleine de miroirs. Danser sous la pluie. Danser sur la plage. Danser le Rock. Danser à ne plus pouvoir respirer. Danser en souriant. Danser dans ma chambre. Danser en tournant jusqu'à en tomber. Danser sur Yann Tiersen. Danser sur la BO de Blade Runner. Danser sur La Belle Image. Danser en jouant de la clarinette. Danser avec Lui.
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. D A N S E R . L A . V I E .
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vendredi 18 septembre 2009

Le bazar de NYC.

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~ é --- c --- r --- i --- r --- e ~
Ecrire pourquoi ? Parce que. Parce que ça occupe, parce que ça distrait, parce que ça fait joli sur du papier et que c'est la mode. Oh et puis non. Recommençons. Ecrire pourquoi ? Parce que. Parce que c'est vital et que sinon j'ai l'impression d'avoir raté ma journée, parce que ça m'emporte, ça me transporte, ça me téléporte dans un autre monde où chaque couleur, chaque geste, chaque son est plus brillant. Plus intense. Et puis parce que c'est un Art. Parce que c'est beau, les lettres, les mots, les phrases. Cet ensemble qui parrait si absurde à ceux qui viennent d'ailleurs, mais qui, finalement, résume tout. Les dits et les non-dits, ceux qu'on aurait bien oublié au fin fond d'un placard en bazar. Alors pourquoi écrire ? Pour se défouler, pour balancer des mots sur une feuille au terme d'une journée bien longue sans s'occuper du sens, de la symétrie ou de que sais-je encore. Parce que tout a toujours un sens, et que les plus beaux mots, les plus belles phrases qui existent sortent de Là où on n'imaginerait même pas.



Je me demande si je ne suis pas en train de jouer avec les mots. Et si les mots étaient faits pour ça ? ----------------------------------- Boris Vian.

ONE WAY .

" That's a Bingooo ! "

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+ ~ iNGLORiOUS
++++++BASTERDS ~

- SOUNDTRACK -


Cinématographiquement parlant, il y a deux sortes de personnes sur Terre : ceux qui ont été élevés aux Films-de-Quentin-Tarantino, et ceux qui ont été élevés à la Musique-de-Quentin-Tarantino. Personnellement, je fais partie de la deuxième catégorie, et croyez-moi, c'est loin d'être la pire ! Parce qu'il faut que je vous dise quelque chose : chez Sir Quentin, la musique et les images sont tout simplement indissociables, et les plus grands fans attendent autant le film en lui même que sa bande originale ...


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... Je dois avouer qu'avant de voir ce très cher - et ô combien glorieux - Inglorious Basterds, je ne connaissais le Génie et ses films que de réputation. Par contre, bizarrement, je savais déjà que les univers fictifs qu'il parvenait à créer, aussi loufoques, cyniques, ou même violents soient-ils, allaient de paire avec un univers musical tout aussi important. Et pour cela, pas besoin d'être experte en Tarantinisme : il m'a juste suffi de dénicher The Tarantino Connection comme ça, au hasard, alors que je fouillais dans les trésors musicaux familiaux, et boum!, c'est comme si j'avais déjà presque vu les films. Je m'imaginais leur atmosphère, leurs images, leurs couleurs, et allais même jusqu'à deviner le caractère que pouvaient avoir les personnages ... le tout, bien sûr, sans connaître la moindre histoire. J'avais donc ma propre vision de ces films, dont les noms m'échappaient encore, et je me gardais bien de la partager !


Je vous laisse donc deviner ma surprise quand je me suis retrouvée dans le noir de cette salle de cinéma et que j'ai "entendu" pour la première fois Inglorious Basterds. Oui, parce que ce film, on ne le "voit" pas, on "l'entend". Certains ont dit qu'il était fait comme un livre : chapitres, dialogues complètement dingues dans tous les sens du terme, cocktail parfait de trois langues maniées avec brio ... et c'est vrai, oui. Mais à mes yeux, il représente une véritable bibliothèque de sons, un vrai petit trésor pour les oreilles. Parce que ce que Tarantino nous sert en premier sur un plateau d'argent, avant même ses belles images et ses dialogues polylingues, c'est le magnifique The Green Leaves of Summer, de Nick Perito, qui ouvre superbement le bal du générique, avec toute cette palette de noms d'acteurs écrits façon Western. D'ailleurs une grande partie de la BO est empreintée au grand Ennio Morriconne : The verdict, qui accompagne de manière surprenante la toute première scène, Un Amigo, tout simplement sublime & Rabbia e Tarantella, qui clot on ne peut mieux se festival sonore. De la musique western dans un "délire" sur le Seconde Guerre Mondiale ? Complètement hors contexte, me diront les rares personnes qui n'ont pas vu le film ... Et bien non : le décalage anachronique entre le son et les images est parfaitement réussi et met l'accent sur le côté loufoque de l'histoire ... Et ça, c'est carrément génial. Retenons aussi - et je dirais même : surtout - les accords de guitare électrique qui deviennent presque la marque de fabrique des Basterds ainsi que le surprenant Cat People de David Bowie. Parfaitement mes amis : du Rock ! Qui prétend toujours que Quentin Tarantino n'est pas un génie ?

Et vous connaissez le meilleur dans tout ça ? Le crépitement du TOURNE-DISQUE.

lundi 7 septembre 2009

Maybe a kind of because of the why.

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« Comme un antidote à mes idées noires, elle est ma tendre mémoire. Elle coule sans soucis, fait son lit sans lois. Je l'aperçois et c'est toute mon enfance qui surgit en moi. Ses méandres sont les dessins sinueux de nos vies, sur ses bancs de sable incertains bien des fois mon esprit s'est endormi. Assis près de cet arbre blanc et sec, ou penché sur ses eaux vertes et brillantes, calme, orageuse, la Loire me rassure telle une mère bienveillante. »


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Et puis ...
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... Et puis il y a cette Amitié qui n'a pas encore trouvé de mot pour la décrire, sinon un sourire. Un sourire qui te transporte dans un autre univers, là où le temps ne compte pas, là où tout est possible et où chaque chose scintille un peu plus qu'ailleurs. Peut-être un regard aussi, un regard qui dit tout, qui fait ressortir le meilleur de toi même et qui te donne l'impression d'être là ici-bas pour quelque chose.

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Et puis un fou-rire.
ET ENFIN LE BONHEUR.


jeudi 3 septembre 2009

Sans mots ni voix.



.iNTO THE WILD - Sean Penn.
Le premier qui me décrit ce film avec un mot des plus justes, je lui décerne une médaille. En or massif, même. Ce film est tout bonnement indescriptible. Il est tellement complet, tellement beau, tellement TOUT à la fois que mettre des mots sur ce que l'on ressent à la fin de la projection est impossible. Je crois qu'il nous touche tous différemment. En fonction de nos convictions. De notre humeur du moment. De notre passé, parfois, et de nos projets d'avenir, aussi. Il renverse tout sur son passage, remet en cause nos croyances les plus profondes et nous laisse ... ahurit. Perplexe. Transformé à jamais. En pleurs, aussi. Mais malgré la tristesse, la solitude et la mort, ce film est porteur de très beaux messages. Sur la relation entre l'homme et la Nature. Sur l'Amour, lePardon, les relations humaines. La Société. Sur la Vie. Oui, c'est un film sur la Vie. Et tout ce qui va avec. Le tout bien dissimulé dans une magnifique histoire, comme on n'en fait plus. ____________


« Happiness is only real when SHARED »


“Two years he walks the earth. No phone, no pool, no pets, no cigarettes. Ultimate freedom. An extremist. An aesthetic voyager whose home is the road. 'Escaped from Atlanta. 'Thou shalt not return, 'cause “the West is the best.”' And now after two rambling years comes the final and greatest adventure. 'The climactic battle to kill the false 'being within and 'victoriously conclude 'the spiritual pilgrimage. 'Ten days and nights of freight trains and hitchhiking bring him to the 'Great White North.' No longer to be poisoned by civilization he flees,and walks alone upon the land to become lost in the wild.” ________ — Alexander Supertramp, May 1992

dimanche 30 août 2009

Ten years from now, I'd like to be Kate's sister.


« She still takes me by surprise. like nearly a year after her death, when my mother came home with a roll of film she'd developed of my high school graduation. We sat down at the kitchen table together, shoulder to shoulder, trying not to mention as we looked at all our double-wide grins that there was someone missing from the photo. And then, as if we'd conjured her, the last picture was from her. it had been that long since we'd used the camera, plain and simple. She was on a beach towel, holding out one hand toward the photographer, trying to get whoever it was to stop taking her picture. My mother and I sat at the kitchen table staring at her until the sun set, until we had memorized everything from the color of her ponytail holder to the pattern of fringe on her bikini. Until we couldn't be sure we were seeing her clearly anymore. » ----My sister's keeper, Jodi Picoult, 2004.

Conclusion.

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__..___.__.__.___..__ & donc en Amérique, quelque part au milieu des pins, des lacs et des montagnes, en haut à gauche de la carte aux trésors, il y a une ville où souvent les gens passent et repassent à toute allure avec des dossiers pleins les bras, et au milieu de ses gens, de cette foule étrange et perpétuelle, fascinante et effrayante à la fois, il y a cette poignée de personnes, uniques et géniales, ces petites étoiles qui, au milieu de ce nouveau ciel, brillent sûrement un petit peu plus pour moi.

Genre ça va pas me manquer du tout.

dimanche 23 août 2009

Something random.

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Quel sentiment etrange que de se dire que je vis les derniers instants. Que bientot, la flamme de la bougie - cette meme bougie qui se consumait devant mes yeux sans meme que je la voie - s'eteindra, laissant place a une fumee de rires, de photos, de mots, de couleurs, de livres, d'odeurs. Laissant place a une cire de souvenirs a l'avenir incertain. Oui, que restera-t-il de tout ceci ? De leurs sourires, de la couleur du lac le matin quand nous partions, du bruit de la television le soir, du soleil qui se couchait dans les arbres qui imprimaient leur ombre sur les maisons ? Que restera-t-il de Seattle, de Bonney Lake, de Auburn Academy ? Que restera-t-il de Shelley, des deux Bob, de Mary, de Mickael, de Patricia, de Marissa, de Liz, de Jonathan, de Jordan, de Sayaka ? Je me demande meme pourquoi j'ecris tout cela, alors qu'ils encore sont la, a parler juste derriere moi. Peut etre que j'ai peur que les mots et les impressions s'echappent de ma tete, que je ne puisse plus decrire ce que j'ai ressenti a cette minute precise de cette heure precise de ce jour precis une fois que tout cela se termine. Une fois que j'aurais traverse l'ocean dans l'autre sens et repris ma place dans l'ordre des choses. Peut etre que j'ai peur que les images dans ma tete finissent par se brouiller avec le temps, le temps qui passe et qui rend tout ci lointain, si intouchable ... Mais non, rien a faire, je ne vois toujours pas pourquoi j'ai pris mon stylo et noici ces pages qui, apparament, n'avaient pas a etre noicies. Pas tout de suite. Oui, parfois on fait des choses que l'on ne comprend pas, des choses qui nous echappent.






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___Absurdites ++de +lignes
++++++++++++ et

+++++++++++++++de ++++points.





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+... Anyway, bientot il faudra tout reprendre a zero, oublier l'heure, les bonnes et les mauvaises habitudes prises pendant ces six semaines. Mais, comme je l'ai dit, ce nest que 'bientot'. Pour le moment, je suis encore la-bas, a regarder le rouge des murs de ma chambre se meler au bleu du ciel dans ma fenetre a Bonney Lake.
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mardi 14 juillet 2009

On the Road again ...

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Ici séjourneront quelques prises de vues
AMERICAINES.
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Seattle - Vancouver : From July 15th to August 26th.
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1# Un peu de coton au dessus de l'Angleterre. 2# The American way of life3# Pike Place Market's chilies 4# Le bonheur des cafés américains=*5# Somewhere close to Pike Place Market +6# American white mountains
7# A lake lost among firtrees8# Olympia hidden by tries9# Somewhere along the road10# Midday at Lake Quinault11# Lake Crescent - My sweet paradise 1
12# My sister & I on Victoria's harbour13# The streets of Vancouver14# Umbrellas on English bay before fireworks15# My best picture - Vancouver from Stanley Park

lundi 13 juillet 2009

Let me in the sound ...

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- Tu vois, c'était magique et très humain à la fois. Un genre de magie bien réel, où des milliers de personnes sont réunies pour la même cause, et où on aurait presque l'impression de tous se connaitre déjà, au fond ... Oui ... Je crois que peux parler de SOLIDARITE. Et puis toutes ces lumières, tous ces décors, comme si nous allions nous envoler dans l'espace d'un moment à l'autre ! Comme si nous allions rejoindre les étoiles ... D'ailleurs tu aurais vu, à un moment, on aurait presque dit qu'elle étaient descendues parmi nous ... 'One love' ... C'était juste beau. Oh, je ne te parle même pas de leur prestation, de tous les messages d'espoir qu'ils ont véhiculés, de la puissance de leur musique, de la manière dont ils nous ont emmenés, avec eux, sur la route du Rock ... Tu sais maintenant, je comprends pourquoi ils sont considérés comme les meilleurs du monde. Oh oui. Et tout ça grâce à une amie, une précieuse amie qui m'a tout appris ... Et qui était là, elle aussi, au milieu de tous ces gens, et qui a vu les mêmes choses que moi ... Sans même que nous ayons pu nous voir, nous.
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- Mais où ?!
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- Au U2360 TOUR 2009 .
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mercredi 8 juillet 2009

Show me which constellations you know.

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+++ E ternal + S unshine+ of the+ S potless+ M ind ;


C'est l'histoire de l'Oubli, ou de la volonté d'oublier pourquoi est malheureux. C'est l'histoire de regrets, de remords, de ce que notre coeur aurait fait à la place de notre esprit. Mais c'est aussi, et surtout l'histoire de l'Amour, de ses hauts et de ses bas, de ses rires et de ses pleurs, de ses cris, de ses révoltes. C'est le dur apprentissage du bonheur de la vie de tous les jours, arrangé avec beaucoup de poésie et de simplicité.





« When I was a kid, I thought I was. I can't believe I'm crying already. Sometimes I think people don't understand how lonely it is to be a kid, like you don't matter. So, I'm eight, and I have these toys, these dolls. My favorite is this ugly girl doll who I call Clementine, and I keep yelling at her, "You can't be ugly! Be pretty!" It's weird, like if I can transform her, I would magically change, too. »







Quand je regarde Eternal Sunshine, j'ai des étoiles plein les yeux. C'est comme si j'avais toute la beauté et la poésie du quotidien devant moi, un juste milieu entre tous les bons et les mauvais moments. Je crois que Michel Gondry, en posant la question de 'comment avancer quand ce que nous avons devant nous n'est que brouillard', nous apprend ici, non seulement à réfléchir avant d'agir, mais aussi à s'accrocher aux plus beaux souvenirs que nous avons. Ceux qui, dans un moment d'hésitation, quand on ne sait plus très bien ou nous en sommes, nous rappellent la définition de notre 'essentiel'. J'aime ce questionnement sur la vie, sur le fragile équilibre entre l'oubli et la mémoire, comme j'aime les personnages de Joel & Clementine ; simplement parce qu'ils ont, au fond de leurs yeux, une étincelle qui les rend si humains, si proches de nous. Ce film est juste magique, il n'y a pas d'autre mot.


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mardi 7 juillet 2009

When Win Butler sings .

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« I know that you were never young, and I know you probably won't get old. But honey nobody's gonna hurt you anymore, and nobody's going to make you want to die ... But I've been making promises I know I'll never keep. One of these days I'm gonna leave you in your sleep, I'll have to go when the whistle blows, the whistle knows my name ... »

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+BABY, I WAS BORN ON A TRAIN.
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samedi 4 juillet 2009

If it's a dream then let me sleep ...

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Que restera-t-il de ce moment ? De cette faille en dehors du temps qu’il avait ouverte pour elles, de cette impression de bonheur aveugle et insouciant ? De ce Neverland intérieur, où, bercées par les eaux calmes d’un fleuve, elles croyaient en la réalité de leurs rêves ? Restera-t-il simplement l’agréable souvenir d’une journée parisienne, ou auront-elles, jusqu’à la fin, un peu de poussière d’étoile sur le bout des doigts ?
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mardi 30 juin 2009

L'air du temps.

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« Les mots sont, les mots font, les mots disent ... Les mots coulent, les mots roulent sur un fil. Moi je laisse ces microbes, ces missiles aux bavards, aux poètes, si possible. »

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Tu es celle que j'admire le plus, et ce depuis toujours. Celle qui m'a fait tant rêver étant petite, quand je m'imaginais des histoires, celles dont seules les petites filles ont le secret, et dans lesquelles je te rencontrais. Tu es la femme à la voix d'enfant. Celle que j'ai toujours aimé sans vraiment pouvoir expliquer pourquoi. Celle dont je connais par coeur un album entier, pochette, dessins intérieurs, auteurs et musiciens compris. Bliss, mon préféré jusqu'à la fin. Cet album était comme un livre que je regardais le soir avant de m'endormir, une sorte de monde parallèle merveilleux. Une fois la lumière éteinte, je me faufilais dans mon lit, appuyais sur le 'petit triangle', et ta voix résonnait dans toute ma chambre, déposait un peu de poussière d'étoile dans chaque recoin ... Je me souviens que c'était comme si une aura protectrice m'entourrait; j'étais calme, apaisée et pouvais alors fermer les yeux en toute sûreté. Je connaissais l'ordre de tes chansons par coeur, je me fredonnais leurs mélodies dans ma tête, me battais corps et âme contre le sommeil juste pour avoir le temps d'entendre la dernière ... Et pour enfin m'endormir au rythme des pizz du violoncelle. Plus grande, quand j'ai commencé à vraiment aimer la musique, j'ai passé des heures à explorer toutes tes chansons, essayer d'entendre chaque basse, chaque mélodie; essayer de comprendre chaque message. J'aime ton sourire, ton jeu d'actrice bien sûr, tes goûts musicaux, la femme que tu es devenue ... Mais avant tout ta voix. Si unique, si belle, si indescriptible. Sur scène tu as rempli mes yeux d'étoiles; j'avais réalisé mon rêve de petite fille de sept ans, mon rêve de toujours. Ce fut sublime. Mon plus beau concert, le plus intense, merveilleux et que sais-je encore. Après tout ce temps je cherche encore un mot pour te décrire ... Magnifique ? Ce mot est trop banal, trop commun, trop utilisé. Vraiment, je ne sais pas comment l'expliquer; les mots se bousculent dans ma tête, apparaissent, disparaissent pour m'emmener vers une autre idée. Il n'y a même pas de mot; tu me fait rêver plus que personne d'autre, et quoiqu'il arrive, jamais je ne t'oublirai, jamais. Parce que je ne peux pas parler de moi sans penser un peu à toi.
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TU ME FAIS CROIRE AU BONHEUR, A LA SIMPLE BEAUTE DE LA VIE.

lundi 29 juin 2009

Don't go. I love you.

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++++++++++~ TWO LOVERS
+++++++++++Joaquin Phoenix & Gwyneth Paltrow
Parce que c'est un film simple mais très beau, et que même si ce n'est pas le film de l'année il est loin de nous laisser indifférents. Parce que je ne me lasserais jamais de le regarder, et qu'à chaque visionnage je remarque des détails nouveaux. Parce que les acteurs principaux subliment cette histoire, si humaine et sans le moindre artifice. Cette histoire qui, dessous sa simple trame sentimentale, révèle un profond drame existentiel, pose la question de comment aimer et être aimé. Parce que c'est un film tout simplement émouvant qui se détache de tous les autres de par la sincérité des personnages, qui n'ont rien à envier aux héros des contes de fées. Parce que si ce film est un conte de fée, il est alors à la portée de tous. Plus de princesses, de chateaux et de dragons, juste de simples humains, comme vous et moi, qui luttent corps et âme contre les obstacles de la vie moderne. Et parce que la beauté de sa mise en scène. Juste, colorée, apporte un regard neuf sur la société du 21ème siècle, posée là entre deux extrèmes, tradition et modernité.
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Parce que c'est un vrai coup de coeur.
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dimanche 28 juin 2009

Juste un de ces articles ...


Avant, je ne le connaissais pas. Vraiment. Il n'était pas à mes yeux le 'Roi de la Pop' qu'il est au yeux de tous. Juste un chanteur qui avait produit un clip mondialement connu dans lequel il se transforme en loup-garou et qui avait méchament renié ses origines. Mais je ne comprenais pas pourquoi. Tout m'échappait, y compris son oeuvre. Jusqu'à vendredi. Quand j'ai su la Terre entière attristée par sa disparition, et que je me suis dit que, peut-être, je manquais le coche. Jusqu'à ce que j'entende Heal the World et que les larmes me montent aux yeux sans vraiment que je comprenne pourquoi. Jusqu'à ce que toute cette tristesse, toute cette nostalgie et toute la beauté de cette chanson m'atteigne et que je commence à comprendre qui était vraiment Michael Jackson. Alors, je me suis promis de tout rattraper. D'apprendre à connaitre l'homme, mais aussi, et surtout, la LEGENDE.