lundi 1 février 2010

Mister Nobody m'a tuée.

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Le meilleur film de l'année 2010.
Acteurs, musique, images, scénario, larmes, rires, fringues comprises.

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lundi 19 octobre 2009

Happy Birthday to myself.

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Si je ne devais vous raconter qu'une seule chose à propos de moi, ce serait ma folle manie à toujours lire le dernier mot de chaque livre.
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« .M A I N T E N A N T. »

samedi 10 octobre 2009

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N E W Y O R K & L O N D O N
- ou les rêves qui ne se sont pas encore éveillés -


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mardi 6 octobre 2009

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D+
Déjà qu'avant c'était critique, mais depuis que j'ai vu Marie Claude Pietragalla sur scène, c'est devenu une maladie. JE VEUX DANSER. Danser partout. Danser dehors. Danser dans une salle pleine de miroirs. Danser sous la pluie. Danser sur la plage. Danser le Rock. Danser à ne plus pouvoir respirer. Danser en souriant. Danser dans ma chambre. Danser en tournant jusqu'à en tomber. Danser sur Yann Tiersen. Danser sur la BO de Blade Runner. Danser sur La Belle Image. Danser en jouant de la clarinette. Danser avec Lui.
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. D A N S E R . L A . V I E .
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vendredi 18 septembre 2009

Le bazar de NYC.

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~ é --- c --- r --- i --- r --- e ~
Ecrire pourquoi ? Parce que. Parce que ça occupe, parce que ça distrait, parce que ça fait joli sur du papier et que c'est la mode. Oh et puis non. Recommençons. Ecrire pourquoi ? Parce que. Parce que c'est vital et que sinon j'ai l'impression d'avoir raté ma journée, parce que ça m'emporte, ça me transporte, ça me téléporte dans un autre monde où chaque couleur, chaque geste, chaque son est plus brillant. Plus intense. Et puis parce que c'est un Art. Parce que c'est beau, les lettres, les mots, les phrases. Cet ensemble qui parrait si absurde à ceux qui viennent d'ailleurs, mais qui, finalement, résume tout. Les dits et les non-dits, ceux qu'on aurait bien oublié au fin fond d'un placard en bazar. Alors pourquoi écrire ? Pour se défouler, pour balancer des mots sur une feuille au terme d'une journée bien longue sans s'occuper du sens, de la symétrie ou de que sais-je encore. Parce que tout a toujours un sens, et que les plus beaux mots, les plus belles phrases qui existent sortent de Là où on n'imaginerait même pas.



Je me demande si je ne suis pas en train de jouer avec les mots. Et si les mots étaient faits pour ça ? ----------------------------------- Boris Vian.

ONE WAY .

" That's a Bingooo ! "

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+ ~ iNGLORiOUS
++++++BASTERDS ~

- SOUNDTRACK -


Cinématographiquement parlant, il y a deux sortes de personnes sur Terre : ceux qui ont été élevés aux Films-de-Quentin-Tarantino, et ceux qui ont été élevés à la Musique-de-Quentin-Tarantino. Personnellement, je fais partie de la deuxième catégorie, et croyez-moi, c'est loin d'être la pire ! Parce qu'il faut que je vous dise quelque chose : chez Sir Quentin, la musique et les images sont tout simplement indissociables, et les plus grands fans attendent autant le film en lui même que sa bande originale ...


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... Je dois avouer qu'avant de voir ce très cher - et ô combien glorieux - Inglorious Basterds, je ne connaissais le Génie et ses films que de réputation. Par contre, bizarrement, je savais déjà que les univers fictifs qu'il parvenait à créer, aussi loufoques, cyniques, ou même violents soient-ils, allaient de paire avec un univers musical tout aussi important. Et pour cela, pas besoin d'être experte en Tarantinisme : il m'a juste suffi de dénicher The Tarantino Connection comme ça, au hasard, alors que je fouillais dans les trésors musicaux familiaux, et boum!, c'est comme si j'avais déjà presque vu les films. Je m'imaginais leur atmosphère, leurs images, leurs couleurs, et allais même jusqu'à deviner le caractère que pouvaient avoir les personnages ... le tout, bien sûr, sans connaître la moindre histoire. J'avais donc ma propre vision de ces films, dont les noms m'échappaient encore, et je me gardais bien de la partager !


Je vous laisse donc deviner ma surprise quand je me suis retrouvée dans le noir de cette salle de cinéma et que j'ai "entendu" pour la première fois Inglorious Basterds. Oui, parce que ce film, on ne le "voit" pas, on "l'entend". Certains ont dit qu'il était fait comme un livre : chapitres, dialogues complètement dingues dans tous les sens du terme, cocktail parfait de trois langues maniées avec brio ... et c'est vrai, oui. Mais à mes yeux, il représente une véritable bibliothèque de sons, un vrai petit trésor pour les oreilles. Parce que ce que Tarantino nous sert en premier sur un plateau d'argent, avant même ses belles images et ses dialogues polylingues, c'est le magnifique The Green Leaves of Summer, de Nick Perito, qui ouvre superbement le bal du générique, avec toute cette palette de noms d'acteurs écrits façon Western. D'ailleurs une grande partie de la BO est empreintée au grand Ennio Morriconne : The verdict, qui accompagne de manière surprenante la toute première scène, Un Amigo, tout simplement sublime & Rabbia e Tarantella, qui clot on ne peut mieux se festival sonore. De la musique western dans un "délire" sur le Seconde Guerre Mondiale ? Complètement hors contexte, me diront les rares personnes qui n'ont pas vu le film ... Et bien non : le décalage anachronique entre le son et les images est parfaitement réussi et met l'accent sur le côté loufoque de l'histoire ... Et ça, c'est carrément génial. Retenons aussi - et je dirais même : surtout - les accords de guitare électrique qui deviennent presque la marque de fabrique des Basterds ainsi que le surprenant Cat People de David Bowie. Parfaitement mes amis : du Rock ! Qui prétend toujours que Quentin Tarantino n'est pas un génie ?

Et vous connaissez le meilleur dans tout ça ? Le crépitement du TOURNE-DISQUE.

lundi 7 septembre 2009

Maybe a kind of because of the why.

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« Comme un antidote à mes idées noires, elle est ma tendre mémoire. Elle coule sans soucis, fait son lit sans lois. Je l'aperçois et c'est toute mon enfance qui surgit en moi. Ses méandres sont les dessins sinueux de nos vies, sur ses bancs de sable incertains bien des fois mon esprit s'est endormi. Assis près de cet arbre blanc et sec, ou penché sur ses eaux vertes et brillantes, calme, orageuse, la Loire me rassure telle une mère bienveillante. »


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Et puis ...
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... Et puis il y a cette Amitié qui n'a pas encore trouvé de mot pour la décrire, sinon un sourire. Un sourire qui te transporte dans un autre univers, là où le temps ne compte pas, là où tout est possible et où chaque chose scintille un peu plus qu'ailleurs. Peut-être un regard aussi, un regard qui dit tout, qui fait ressortir le meilleur de toi même et qui te donne l'impression d'être là ici-bas pour quelque chose.

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Et puis un fou-rire.
ET ENFIN LE BONHEUR.