lundi 19 octobre 2009
Happy Birthday to myself.
mardi 6 octobre 2009
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vendredi 18 septembre 2009
Le bazar de NYC.
Je me demande si je ne suis pas en train de jouer avec les mots. Et si les mots étaient faits pour ça ? ----------------------------------- Boris Vian.
ONE WAY .
" That's a Bingooo ! "
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... Je dois avouer qu'avant de voir ce très cher - et ô combien glorieux - Inglorious Basterds, je ne connaissais le Génie et ses films que de réputation. Par contre, bizarrement, je savais déjà que les univers fictifs qu'il parvenait à créer, aussi loufoques, cyniques, ou même violents soient-ils, allaient de paire avec un univers musical tout aussi important. Et pour cela, pas besoin d'être experte en Tarantinisme : il m'a juste suffi de dénicher The Tarantino Connection comme ça, au hasard, alors que je fouillais dans les trésors musicaux familiaux, et boum!, c'est comme si j'avais déjà presque vu les films. Je m'imaginais leur atmosphère, leurs images, leurs couleurs, et allais même jusqu'à deviner le caractère que pouvaient avoir les personnages ... le tout, bien sûr, sans connaître la moindre histoire. J'avais donc ma propre vision de ces films, dont les noms m'échappaient encore, et je me gardais bien de la partager !
Je vous laisse donc deviner ma surprise quand je me suis retrouvée dans le noir de cette salle de cinéma et que j'ai "entendu" pour la première fois Inglorious Basterds. Oui, parce que ce film, on ne le "voit" pas, on "l'entend". Certains ont dit qu'il était fait comme un livre : chapitres, dialogues complètement dingues dans tous les sens du terme, cocktail parfait de trois langues maniées avec brio ... et c'est vrai, oui. Mais à mes yeux, il représente une véritable bibliothèque de sons, un vrai petit trésor pour les oreilles. Parce que ce que Tarantino nous sert en premier sur un plateau d'argent, avant même ses belles images et ses dialogues polylingues, c'est le magnifique The Green Leaves of Summer, de Nick Perito, qui ouvre superbement le bal du générique, avec toute cette palette de noms d'acteurs écrits façon Western. D'ailleurs une grande partie de la BO est empreintée au grand Ennio Morriconne : The verdict, qui accompagne de manière surprenante la toute première scène, Un Amigo, tout simplement sublime & Rabbia e Tarantella, qui clot on ne peut mieux se festival sonore. De la musique western dans un "délire" sur le Seconde Guerre Mondiale ? Complètement hors contexte, me diront les rares personnes qui n'ont pas vu le film ... Et bien non : le décalage anachronique entre le son et les images est parfaitement réussi et met l'accent sur le côté loufoque de l'histoire ... Et ça, c'est carrément génial. Retenons aussi - et je dirais même : surtout - les accords de guitare électrique qui deviennent presque la marque de fabrique des Basterds ainsi que le surprenant Cat People de David Bowie. Parfaitement mes amis : du Rock ! Qui prétend toujours que Quentin Tarantino n'est pas un génie ?
Et vous connaissez le meilleur dans tout ça ? Le crépitement du TOURNE-DISQUE.
lundi 7 septembre 2009
Maybe a kind of because of the why.
jeudi 3 septembre 2009
Sans mots ni voix.
dimanche 30 août 2009
Ten years from now, I'd like to be Kate's sister.
Conclusion.
dimanche 23 août 2009
Something random.
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++___Absurdites ++de +lignes
++++++++++++ et
+++++++++++++++de ++++points.
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+... Anyway, bientot il faudra tout reprendre a zero, oublier l'heure, les bonnes et les mauvaises habitudes prises pendant ces six semaines. Mais, comme je l'ai dit, ce nest que 'bientot'. Pour le moment, je suis encore la-bas, a regarder le rouge des murs de ma chambre se meler au bleu du ciel dans ma fenetre a Bonney Lake.
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mardi 14 juillet 2009
On the Road again ...
Ici séjourneront quelques prises de vues
Seattle - Vancouver : From July 15th to August 26th.
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1# Un peu de coton au dessus de l'Angleterre. 2# The American way of life3# Pike Place Market's chilies 4# Le bonheur des cafés américains=*5# Somewhere close to Pike Place Market +6# American white mountains
7# A lake lost among firtrees8# Olympia hidden by tries9# Somewhere along the road10# Midday at Lake Quinault11# Lake Crescent - My sweet paradise 1
12# My sister & I on Victoria's harbour13# The streets of Vancouver14# Umbrellas on English bay before fireworks15# My best picture - Vancouver from Stanley Park
lundi 13 juillet 2009
Let me in the sound ...
mercredi 8 juillet 2009
Show me which constellations you know.
+++ E ternal + S unshine+ of the+ S potless+ M ind ;
C'est l'histoire de l'Oubli, ou de la volonté d'oublier pourquoi est malheureux. C'est l'histoire de regrets, de remords, de ce que notre coeur aurait fait à la place de notre esprit. Mais c'est aussi, et surtout l'histoire de l'Amour, de ses hauts et de ses bas, de ses rires et de ses pleurs, de ses cris, de ses révoltes. C'est le dur apprentissage du bonheur de la vie de tous les jours, arrangé avec beaucoup de poésie et de simplicité.
Quand je regarde Eternal Sunshine, j'ai des étoiles plein les yeux. C'est comme si j'avais toute la beauté et la poésie du quotidien devant moi, un juste milieu entre tous les bons et les mauvais moments. Je crois que Michel Gondry, en posant la question de 'comment avancer quand ce que nous avons devant nous n'est que brouillard', nous apprend ici, non seulement à réfléchir avant d'agir, mais aussi à s'accrocher aux plus beaux souvenirs que nous avons. Ceux qui, dans un moment d'hésitation, quand on ne sait plus très bien ou nous en sommes, nous rappellent la définition de notre 'essentiel'. J'aime ce questionnement sur la vie, sur le fragile équilibre entre l'oubli et la mémoire, comme j'aime les personnages de Joel & Clementine ; simplement parce qu'ils ont, au fond de leurs yeux, une étincelle qui les rend si humains, si proches de nous. Ce film est juste magique, il n'y a pas d'autre mot.
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mardi 7 juillet 2009
When Win Butler sings .
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